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Une arrivée bien mouvementée


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Message envoyé le : Mer 16 Mar - 21:35

Maria Fernandez
Je ne suis pas folle...
Des couloirs gris, d'aspect sales. Des portes épaisses, toute aussi grises et peu accueillantes. Voila ce qui défile autours de moi alors que j'avance, mains liées, guidée par un homme assez musclé à travers l'asile qui va désormais me servir de lieu de vie. Comment ai-je pu en arriver ainsi...? Comment ai-je pu être envoyée ici, si loin de tout ce que j'ai toujours connu, sans même qu'on me donne une chance de m'expliquer? Je garde la tête basse, dépitée. Dimitri... J'espère que lui a réussi ce qu'il a entrepris. Ou alors, qu'il a été pardonné, et qu'il s'en est bien sorti.
L'homme s'arrête. Je redresse la tête, et remarque une salle sur notre droite. Oui, une salle, juste une. Pas très spacieuse. Et assez morne, comme le couloir auquel elle fait face. Je jette un regard aux alentours: que des salles comme celle-ci, de chaque côté du couloir. Des cellules. Je me demande un instant si je ne suis pas plus dans une prison que dans un asile. L'homme regarde à l'intérieur, il semble vérifier quelque chose. Je suis son regard, et remarque une femme aux cheveux blonds allongée sur un des lits. Je vais partager ma chambre avec elle? Mais, si elle est enfermée ici, ce n'est pas le signe qu'elle est démente...? Ne serai-je pas en danger avec elle? J'ai peur, et lance un regard inquiet à l'homme qui m'ignore complètement, et finalement sort des clefs et ouvre la porte avant de me pousser rapidement dans la pièce et de refermer à double tour. Il devait craindre que l'autre femme ne sorte.

"Et bon séjour à l'asile!"

Lance-t-il, un peu moqueur, en s'éloignant de la cellule. Je reste là, debout, ne sachant trop quoi faire. Si cette femme est dangereuse, je ferais mieux de l'ignorer non? Mais ce n'est pas poli, elle pourrait aussi se vexer. Me tournant finalement vers elle, je dis à mi-voix, ne sachant trop si je préférerais qu'elle m'entende ou qu'elle ne m'entende pas:

"Bonjour..."

Je l'observe un moment, n'osant pas bouger, guettant sa réaction. Elle doit faire à peu près ma taille, peut-être un peu plus grande. Ses cheveux sont très clairs, à tel point que je me demande si la couleur est naturelle ou non. Je croise son regard, et me fige, ratant un battement de coeur à la façon d'un rongeur face à un chat.

Maria Fernandez


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Message envoyé le : Sam 21 Mai - 21:15

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Une arrivée bien mouvementée
Les fous ne son pas toujours ce qu'ils paraissent être !
Maria ✧ Harley
Le bruit des portes qui claque souvent, celui des clés qui se tourne dans une serrure, les rires ou cri des personnes démente enfermé ici, voila, c'était le quotidient d'Harley. Avant elle entendait ses bruits car elle était psy ici, maintenant elle les entend tout pareil, mais en temps que personne soit disant démente enfermer ici. Mais elle, elle savait qu'elle n'était pas vraiment folle, elle était avant tout amoureuse. Et oui cela l'avait rendu folle, certe mais quand même parfois elle se disait qu'elle méritait mieux que cet asile pourri. Ils auraient au moins put l'envoyer dans une asile 4 etoiles. Enfin elle se contentait d'Arkham c'est pas comme si elle avait le choix de toute façon. Par contre elle aurait aimé avoir une cellule seule, ou au moins avec quelqu'un parce qu'une cellule double comme la sienne, mais avec que elle dedans, ca n'avait absolument rien d'amusant.  Elle tournait donc en rond. Enfin ce matin elle était plutot allongé sur son lit, les pieds lever contre le mur et la tête penché en arriére pendu dans le vide. Ses long cheveux platine avec les pointes légérement décoloré toucher le sol, elle n'avait même pas le droit a un elastique, si bien que le coté rouge, enfin rose maintenant, et le coté noir était mélanger ce qui donner surement quelque chose d'étrange. Elle s'était mise a chantonner quand elle entendi la porte de sa cellule s'ouvrire et les hommes parler. Elle posa les yeux sur la personne qui venait d'être pousser sans aucune gentillesse dans la cellule. De toute façon les gardiens par ici n'était pas vraiment connue pour leurs gentillesse. L'expression "aimable comme une porte de prison" était exactement approprié pour eux. Ses grands yeux bleu azure se posérent sur la jeune femme qui avait était jeter dans sa cellule, comme on jette un pauve manand dans la fausse au lion. Elle était moyenne, surement de la même taille qu'Harley, avec de long cheveux brun et un regard timide.  Un grand sourire s'étira sur les lèvres de la blonde quand la gamine lui dit timidement bonjour. Dans une sorte de roula elle mit pieds a terre et s'approcha doucement de la brune. Elle la regarda d'abord froidement, inspectant chaque couture de la brune. Puis un nouveau sourire, joyeux s'étira sur les lèvre de la blonde qui la prit dans ses bras en entonnant un " Bienvenue dans la cellule 200"  Elle devait surement faire un peu peur a cette pauvre jeune fille qui semblait timide a souhait. Mais c'était Harley après tout. Elle la lâcha et lui tendi la main " Moi c'est Harley . Harley Quinn, enchanté , et toi tu t'apelle comment ? " Pauvre gamine, elle ne savait pas dans quoi elle venait d'être plongée. Certe comme cela Harley semblait amicale et pleine de joie, elle l'était. Mais elle avait aussi sa part un peu plus sombre et ses moments de violence. En general elles étaient rare, mais en ce moment un de ses médicament eveiller un peu la Harleen qui sommeillait en elle, ce qui avait provoquer une veritable gueurre dans la tête de la blonde clownesque.
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Message envoyé le : Lun 23 Mai - 15:06

Maria Fernandez
Je ne suis pas folle...
La femme sans nom me regarde, silencieuse, tête à l'envers allongée dans sa position si originale; jambes contre le mur, pieds en l'air donc, dos sur le matelas et tête renversée. Sans oublier ses longs cheveux qui balaient le sol de leurs pointes aux couleurs étranges. On dirait un dégradé original passant du rose au noir. Ça, je sais que ça ne peut pas être naturel. Donc c'est une teinture qu'elle s'est faite, mais qui voudrait se faire ce genre de couleurs, surtout disposées ainsi...? Etrange, vraiment. Lentement, je vois naître un sourire sur ses lèvres, juste avant qu'elle ne roule pour se mettre au sol sur ses pieds, faisant voler ses longs cheveux autours d'elle d'une façon élégante en dépit de leurs couleurs. Elle s'approche de moi sans précipitation, et j'ignore s'il convient de reculer ou de rester calme, ne sachant pas si ma colocataire d'infortune est dangereuse ou non. Après tout, je suis dans un asile, à l'aspect peu rassurant qui plus est, la femme aux longs cheveux blonds peut donc être dangereuse.

Elle s'arrête et me regarde de la tête aux pieds, un air sérieux, sévère même, sur le visage, comme si elle m'évaluait, ou qu'elle me jugeait. Elle ne peut pas savoir pourquoi je suis ici, hein? Est-ce qu'elle cherche à savoir si moi je suis dangereuse? Peut-être que, comme moi, elle est ici par erreur...?

" Bienvenue dans la cellule 200"

Je ne comprend pas bien ce qu'il se passe, mais en une seconde son air sérieux est redevenu un grand sourire, et je me retrouve serrée dans ses bras. Je suis tellement surprise que je ne pense pas à lui rendre son étreinte, et reste bouche très légèrement entrouverte, yeux grand ouverts, et bras écartés. L'étreinte n'est pas violente, juste vive, pleine d'énergie et d'une sorte de... joie de vivre...? Qui jure un peu avec l'aspect lugubre de la cellule ou nous sommes. La cellule 200 a-t-elle dit. Bien, au moins, je connais maintenant mon "adresse"... Elle me lâche, son sourire toujours bien en place sur son visage aux traits assez jeunes.

" Moi c'est Harley . Harley Quinn, enchanté , et toi tu t'apelle comment ? "


Je la regarde plusieurs secondes sans comprendre qu'elle me pose une question, bien que celle-ci soit des plus basiques. En fait, je suis encore sous le "choc" de l'étreinte inattendue. Finalement, je comprends qu'elle vient de se présenter, comme n'importe quelle personne le ferait lors d'une rencontre lambda. Si nous n'étions pas dans une cellule morose, j'aurais on aurait pu passer pour deux camarades de fac, ou deux membres d'un même club de sport. Mais il y a les barreaux, il y a les lits aussi fermes et gris que les murs, et il y a les tenues oranges, seules tâches de couleur dispensées par l'établissement. Malgré tout cela, son attitude a quelque chose de dédramatisant. Je me répète que peut-être sa folie n'est pas dangereuse, ou est due à une erreur, une incompréhension, et, la voix un peu moins faible, je répond à sa présentation:

"Maria Fernandez, enchantée de même, Madame Quinn."


En fait, je me demande si le "madame" est de rigueur, et si "mademoiselle" n'aurait pas plus été approprié, vu son apparente jeunesse. Je ne lui donnerai pas plus de la trentaine. Mais dans le doute, c'est plus respectueux. Je la regarde de nouveau en silence. Et maintenant, je lui dis quoi? Qu'est-ce qu'on est censé dire à un détenu dans un asile? Comment tient-on une conversation avec une personne potentiellement folle, de quelque manière que ce soit? Est-ce que je dois lui demander depuis combien de temps elle est ici? Ça me semble impoli. Mais alors quoi? Les présentations et amorces de conversation n'ont jamais été vraiment mon fort, déjà dans ma vie avant l'hôpital, alors maintenant que je suis ici, ça ne risque pas de s'améliorer...

Un cri. Ou est-ce un rire? En tout cas, le son dont je ne peux déterminer l'origine est si soudain et si effrayant qu'il me fait sursauter, regard braqué vers la porte presque comme si je m'étais attendue à y voir un monstre hilare nous dévisager avec des yeux rouge de haine et un sourire carnassier. Vraiment, mon séjour ici ne s'annonce pas rassurant du tout...

Maria Fernandez


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Message envoyé le : Dim 29 Mai - 14:34

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Une arrivée bien mouvementée
Les fous ne son pas toujours ce qu'ils paraissent être !
Maria ✧ Harley
Elle venait de souhaiter la bienvenue a sa nouvelle colocataire de cellule. Elle était vraiment contente d'en avoir enfin une. Harley n'était pas quelqu'un qui aimait la solitude, elle devait toujours attirer l'attention. Elle était très, voir trop sociable et aimait peut-être un peu trop les gens d'ailleurs. Elle se montrait très tactile, quoi qu'elle avait quand même des limites. Elle prit cependant la petite brune dans ses bras. Petite brune qui venait d'être témoin d'une des nombreuse saute d'humeur de la blonde.  Pauvre petite, le directeur n'avait vraiment pas de coeur de mettre un être qui semblait si fragil dans la cellule d'Harley. Elle explosa de rire quand la petite brune  qui répondait au doux nom de Maria l'apella "madame". Son rire cristalin et mélodique raisonna dans la cellule, elle s'arrêta cependant brusquement et fit a nouveau un grand sourire a la brune. Ce qu'elle devait passer pour une folle en faite ! Ca tombe bien, elle était folle !  "Tu peux m'apeller Harley ! Et même me tutoyer "  
Elle rit un peu amuser de voir la brune sursauter quand un cris se fit entendre. La pauvre Maria, il faudrait qu'elle s'y habitude, car c'était un bruit de fond quotidient par ici, les rires et les cris dément. La blonde s'avanca vers la porte   et regarda a l'extérieur par curiosité "Pas de panique, c'est juste Magpie qui vien de se faire confisqué le bout de miroire qu'elle avait sous son matelas. " Oui, Harley connaissait presque tout le monde ici, elle connaissait même certain dossier de certains patients sur le bout des doigts. Comme celui du Joker, celui d'Edward  Nygma, d'Harvey Dent et tellement des plus grand criminel enfermé ici ou actuellement en liberté dans Gotham.  Elle regarda un peu dans le couloir, amuser de voir Magpie devenir folle. Elle était en train de retourner toute sa cellule a la recherche de son bout de miroire. Harley trouvait la fascination de la volleuse pour les objets brillant assez rigolo. Enfin vous me direz Harley trouver un rien rigolo.  Elle se lassa cependant vite du spectacle et se tourna a nouveau vers Maria, qu'elle avait oublier l'espace d'une seconde. Elle la regarda un instant silencieuse avant d'aller s'asseoir sur son lit en tailleur. Elle posa a nouveau son regard bleu intense sur la brune "Alors raconte moi tout ! Pourquoi tu es ici ? Tu es nouvelle ? Tu es arrivé quand ? Tu peux tout me dire, j'était psychiatre avant !" Oui cela risqué d'être choquant, mais elle n'avait absolument pas honte de le dire.  Et puis enormement de patient le savait, car certain avait déjà eu des consultation avec elle. Parfois elle en retrouvait même certain dans leurs cellules car il voulait lui parler. C'était un des coté assez rassurant d'Harley, elle avait une grande capacité a écouter les gens. Bon depuis qu'elle était devenue Harley, elle donnait plus son avis que quand elle était Harleen, et froissé les gens ne lui faisait plus peur. Elle se moquer d'eux aussi parfois. Mais elle écoutait toujours dans un premier temps. Pauvre Maria, elle devait surement avoir un peu peur là maintenant tout de suite. Sauf si elle aussi était folle a lier et dangeureuse comme la blonde.
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Message envoyé le : Sam 4 Juin - 11:10

Maria Fernandez
Je ne suis pas folle...
Le rire cristallin de ma nouvelle colocataire s'élève à nouveau dans les airs lorsque je l'appelle Madame, puissant, beau, et aussi soudain dans son départ que dans son arrêt. Est-ce une preuve de sa folie? Possible, oui. Mais on n'enferme pas les gens simplement pour un rire un peu particulier, surtout quand celui-ci a de telles sonorités, n'est-ce pas?

"Tu peux m'appeler Harley ! Et même me tutoyer "

Je n'ai pas le temps de la remercier que le cri qui retenti me fait sursauter, tandis qu'il la fait rire à nouveau. De toute évidence nullement effrayée, elle s'avance vivement vers la vitre de la cellule pour observer dans le couloir, cherchant visiblement à observer la scène d'où le cri provenait.

"Pas de panique, c'est juste Magpie qui vient de se faire confisqué le bout de miroir qu'elle avait sous son matelas. "

Plusieurs questions sans réponse se présentent à mon esprit; qui est cette Magpie? Pourquoi cacher un bout de miroir? Et pourquoi le lui confisquer, aussi? Est-ce que c'est considéré comme une arme? Ou comme un moyen de s'automutiler? J'ignore ce que peut voir la dénommée Harley, mais le spectacle semble la captiver un moment, il me semble même la voir sourire comme une enfant devant un show de marionnettes. Pour ma part, je n'ose pas trop m'approcher, j'ai peur de ce que je pourrais voir. En fait, peut-être que je ne veux rien voir pour que rien n'ai l'air vraiment réel...

Elle revient finalement vers moi, toujours souriante. C'est impressionnant l'énergie que cette femme dégage. Un peu effrayant certes, mais aussi assez vitalisant. Un être coloré et plein de vie dans ce lieu sombre et aux allures d'enfer. Je la regarde se poser sur mon lit avec une grâce de gymnaste experte, et hésite un temps à la rejoindre.

"Alors raconte moi tout ! Pourquoi tu es ici ? Tu es nouvelle ? Tu es arrivée quand ? Tu peux tout me dire, j'étais psychiatre avant !"  

La révélation me frappe. Elle était psychiatre avant? Où ça? Pas ici quand-même, si? Et comment une psychiatre peut terminer dans un asile? Ce sont normalement des personnes solides d'esprit, stables, droites. C'est ce que disait le partenaire de ma mère, du moins. Qu'est-ce qui a pu lui causer d'être enfermée dans cet asile? Je reste légèrement incrédule devant une telle révélation, et en même temps, désolée pour elle. Je pense qu'un lieu aussi triste que celui-ci doit briser les esprits aussi joyeux que le sien, elle ne doit pas être enfermée depuis longtemps. C'est d'ailleurs sûrement pour ça qu'elle agit encore en psychiatre. Cette pensée me décide à m'asseoir à côté d'elle, timidement certes, mais avec un maigre sourire néanmoins. Un sourire poli, respectueux pour cette femme aussi étrange que captivante:

"Je ne veux pas vous... te déranger avec mes... histoires... Je suis arrivée ce matin... ou plutôt tout à l'heure... je ne sais pas quelle heure il est, je n'ai pas de montre, et on ne me l'a pas donnée."

Après une vague hésitation, j'ajoute:

"Je suis désolée pour toi... Que tu ais été enfermée ici... Ils... ils te traitent bien, au moins...?"

La question est presque autant pour moi que pour elle. J'ignore quels traitements on donne aux patients ici, mais s'ils sont à l'image du bâtiment, ça ne va pas être une partie de plaisir... Du tout...

Maria Fernandez


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Message envoyé le : Dim 5 Juin - 8:42

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Les fous ne son pas toujours ce qu'ils paraissent être !
Maria ✧ Harley
Voir la réaction assez...Stupéfé de la brune face a elle quand Harley lui dit qu'elle avait était psychiatre avant lui donner une grosse envie de rire.  Oui sa nouvelle colocataire avait déjà du remarquer que la blonde était du genre a rire de tout et rien. Et si celle ci avait un minimum de sens analytique elle remarquerait vite qu'un des nombreux problème d'Harley était du a ses émotions. Elle verait vite qu'Harley passait du rire aux larmes en un battement de cils. Personne ne savait comment et pourquoi, pas même Harley elle même. Au final, si tout le monde se disait que le cas le plus dur qu'avait eu Harleen en consultation était surement le Joker, en réalité c'était elle même son cas le plus dur.  La blonde était constament en lute mental contre elle même. Elle chercher sans cesse a essayer de se comprendre, ses deux personnalité était sans cesse en train de vouloir prendre le dessus sur l'autre.  Elle rit a la réponse de la petite brune et posa une mains sur l'épaule de cette dernière qui s'était timidement installer vers elle. Oui Harley essayait de la mettre vite a l'aise... Et elle la metterais surement mal a l'aise si la brune n'était pas du genre a aimer le contacte physique.    "Tu ne m'embête pas puisque j'ai poser la question ! Ce qui m'ennuie c'est les longue journée a rien faire ici ! Alors raconte moi tout ! "  Elle rit a nouveau a cause de l'histoire de la montre "Ici tu saura jamais vraiment l'heure, on nous confisque presque tout nos objet ! J'ai même pas le droit d'avoir des elastique pour mes cheveux ! Ils disent que ce serait dangeureux ! Comme si j'allais en faire une arme ! Je veux juste m'attacher les cheveux moi !" Et voila, Harley la pipelette était mis en marche.  Elle haussa les épaules quand la petite brune s'excusa qu'elle est était enfermer ici. Décidement cette gamine ne connaissait rien a rien. "Oh ne t'en fait pas ! J'vais pas tarder a sortir d'ici...Même si comme d'habitude Batou me ramenera ici ! " Elle fut prise d'un fou rire quand elle lui demanda s'ils la traitaient bien. Non mais elle se croyait en colonie ou quoi ?  Quand elle réussi a calmé son fou rire elle regarda la petite brune toujours aussi amuser "On est dans un asile ici ! Tout le monde me pense folle, alors non personne ne te traite bien ici ! Tu ne sera pas epargnier ! Surtout que la plus part des psychiatre ici son imcopétent. Je pense qu'ils ont eu leurs diplôme dans une pochette surprise ! " Elle explosa de rire a sa propre blague. Ce qu'elle aimait se faire rire elle même.Enfin elle regagna a nouveau très vite son calme et regarda la brune. "Alors, tu m'a toujours pas dit ton problème. Pourquoi tu es enfermée ici ? T'es quoi ? Schizophréne ? Kleptomane ? Tu te prend pour une plante ? Ou une princesse de l'espace ? Ou même une princesse de conte de fée ? Vas y fait moi rêver !" Dit elle en fixant intensément sa nouvelle colocataire. Elle pouvait presque faire peur la en faite. Mais elle aimait tellement découvrire de nouveau cas...Et surtout avoir de nouveau jouet!
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Message envoyé le : Mer 15 Juin - 12:40

Maria Fernandez
Je ne suis pas folle...
"Tu ne m'embêtes pas puisque j'ai posé la question ! Ce qui m'ennuie c'est les longues journées à rien faire ici ! Alors raconte-moi tout ! "  

Elle repart de son rire cristallin et franc ; je ne pense pas avoir jamais vu une personne rire autant en si peu de temps, et surtout pas confrontée à la vie austère qu'impose l'asile. En parlant, elle a posé sa main sur mon épaule, un geste auquel je ne suis pas habituée, mais qui ne semble pas être menaçant. Je repense au fait que si elle est enfermée ici, c'est qu'elle doit être folle, d'une manière ou d'une autre. Est-ce que c'est ça, sa folie ? Rire de tout, en dépit de la gravité de la situation ? Mais est-ce qu'on peut enfermer quelqu'un pour si peu ? Il y a sans doute autre chose, lié ou non à son rire récurrent. L'idée qu'elle puisse être potentiellement dangereuse m'effraie un peu, mais en même temps, elle est la première, depuis mon arrivée, à ne pas me bousculer ou me traiter comme une folle dangereuse qu'il faut enfermer pour le bien de l'humanité. Sans doute parce qu'elle n'a pas vu le dossier que l'hôpital a envoyé à l'asile, certes, mais même en sachant cela, ce peu de jovialité, de « respect » me semble si précieux que je m'y raccroche, allant jusqu'à essayer d'ignorer sa probable folie. Est-ce que je le regretterai ? Peut-être...

"Ici tu sauras jamais vraiment l'heure, on nous confisque presque tout nos objets ! J'ai même pas le droit d'avoir des élastiques pour mes cheveux ! Ils disent que ce serait dangereux ! Comme si j'allais en faire une arme ! Je veux juste m'attacher les cheveux moi !"

Je la regarde avec étonnement. On lui confisque ses élastiques ? De simples élastiques pour cheveux ? Ça me semble tellement absurde... Peut-être dit-elle ça pour rire, pour grossir le trait. Je repense à ses cheveux blonds, aux pointes qui font un étrange dégradé du bleu au rose. Ce n'est peut-être pas un dégradé en fait... Est-ce qu'elle les porte séparés en deux nattes, ou deux couettes longues d'habitude ? Pour bien séparer les deux couleurs ? Ça expliquerait ce mélange étrange entre le côté tout rose et le côté tout bleu. Des couleurs qui, maintenant que je l'ai entendue et vu agir, me semblent moins incroyables, presque naturelles même, avec sa personnalité.
Je lui fais part de ma désolation pour son enfermement, à elle qui était apparemment une ancienne psychiatre, mais elle me surprend à nouveau par son détachement vis à vis de sa situation :

"Oh ne t'en fais pas ! J'vais pas tarder à sortir d'ici...Même si comme d'habitude Batou me ramènera ici ! "

Batou ? De qui parle-t-elle ? Un ami à elle ? Un membre de sa famille ? Batou ne peut être un vrai prénom, ça doit être un surnom, soit amical, soit moqueur, ce qui me fait penser qu'elle connaît bien celui dont elle parle. Ou celle, d'ailleurs, peut-être s'agit-il d'une femme. J'hésite quelques secondes avant de poser timidement la question :

« Excuse-moi... Batou, c'est... un ami à toi... ? Ou quelqu'un que tu connais bien... ? Pourquoi te ramène-t-il ici si... on te laisse sortir ? »

Est-ce que cette personne cherche à la voir disparaître ? Est-ce qu'elle est enfermée ici à cause de cette personne alors qu'elle n'a pas commis de vrai crime ? Mais pourquoi voudrait-on se débarrasser d'elle ? Non, je ne dois pas avoir compris ce qu'elle cherche à me dire, peut-être que c'est quelque chose de commun ici, et que je comprendrai à long terme. Bien que l'idée de passer le restant de mes jours ici me glace...

Nouvel éclat de rire quand je lui demande si on la traite bien, comme si ma question était des plus risibles. Est-ce vraiment le cas... ?

"On est dans un asile ici ! Tout le monde me pense folle, alors non personne ne te traite bien ici ! Tu ne seras pas épargnée ! Surtout que la plupart des psychiatres ici son incompétents. Je pense qu'ils ont eu leur diplôme dans une pochette surprise ! "


Tandis que son rire vif et spontané se répand à nouveau dans la cellule, je sens l'inquiétude remonter en flèche chez moi. « Tu ne seras pas épargnée ». Elle ne dit pas juste que je ne serai pas très bien traitée, elle parle de ne pas épargner, comme avant un massacre ou une torture. Que fait-on aux patients, ici ? Comment tente-t-on de les soigner ? J'ai lu, par le passé, des livres plus ou moins anciens parlant d'asiles et de maisons de fous où l'on maltraitait les patients, où on utilisait des thérapies meurtrières, comme les chocs électriques, les douches à l'eau glacée, parfois même des coups, purement et simplement. Je m'étais toujours dit que c'était d'un autre temps, qu'on ne voyait rien de tel aujourd'hui, mais son discours me met le doute, à présent. Je voudrais tant pouvoir expliquer mon cas, prouver que je ne suis pas folle, encore moins dangereuse. Qu'on se rende compte de la méprise, et qu'on me rende à ma famille, et qu'eux aussi, comprennent... Mais si ce qu'elle dit des psychiatres est vrai, ils ne prendront pas la peine de m'écouter, feront comme les personnes rencontrées à l'entrée, me regarderont de haut et me traiteront comme folle sans prêter attention à mes explications. Je baisse les yeux à cette pensée, déjà un peu plus écrasée par le poids de cet enfermement que je suis la seule à savoir du à une erreur.

"Alors, tu m'as toujours pas dit ton problème. Pourquoi tu es enfermée ici? T'es quoi? Schizophrène? Kleptomane? Tu te prends pour une plante? Ou une princesse de l'espace? Ou même une princesse de conte de fée? Vas y fais-moi rêver !"

Je relève vers elle un regard perdu, hésitant, perturbé par le fait que ses paroles arrivent en même temps que ma prise de conscience que personne ne me croira ici. Serait-elle une exception, elle ? Non, sans doute pas, elle me parle d’hallucinations, de délires, de dédoublements de personnalité, et même de tendance au vol. Elle me voit déjà comme une potentielle criminelle dérangée. Me défendre sera sûrement inutile, et pourtant, je n'arrive pas encore à me résoudre à accepter cette image erronée que les gens ont de moi depuis l'hôpital. J'hésite, réfléchis à la formulation, détourne le regard plusieurs fois pour le reporter à nouveau sur elle à chaque fois, dans le but de commencer des explications qui me semblent étrangement difficiles à faire sortir. Et finalement, le regard baissé sur mes genoux, la voix basse, presque comme si j'avais peur qu'elle m'entende et réfute aussitôt mes paroles, je dis :

« Je ne suis pas folle... Je sais qui je suis... d'où je viens... ce que je fais... Il y a eu une... erreur... mais je n'ai pas pu l'expliquer... »

Maria Fernandez


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Message envoyé le : Sam 16 Juil - 17:06

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Maria ✧ Harley
Harley ne put s’empêcher d’exploser de rire quand la brune lui demanda si « batou » était un ami a elle, et pourquoi il l’a ramener ici et si on la laissait sortir.  Cette petite avait l’air tellement naïve, c’était vraiment très drôle, surtout quand on a pour « nom de scène » Harley Quinn. Evidement, elle ne se moquer pas, elle était juste Harley a rire pour un rien, enfin il valait mieux que la brune la fasse rire plutôt que pleurer.  Et surtout la jeune femme n’était visiblement pas de Gotham et donc ne connaissait pas le « grand et fabuleux » Batman. Plutôt le « Moche et pourri » Batou si vous voulez l’avis d’Harley. Même si au final  en y regardant de plus prés, la blonde n’avait rien de réel contre Batman, il ne lui avait rien fait. Elle avait juste était prise dans un engrenage de folie et par pur loyauté dû a l’amour qu’elle porter au Joker, elle détester Batman. Et parfois elle le voyait aussi comme un obstacle entre elle et son Mr J.  Elle s’arrêta de rire et souri a la brune en secouant doucement la tête "Toi t’es vraiment pas de Gotham, tu ne connais pas Batman ? L’autre chauve-pourris qui déjoue toujours les plans de Mr J et moi ? Et même de tous les autres « criminels » de Gotham ? " Elle avait accentué le mot criminel en faisant des guillemets avec ses doigts. "Et personne ne me laisse sortir d’ici, t’es malade toi, j’suis trop folle pour que les psychiatre me laisse un jour sortir d’ici. J’veux bien qu’ils soit nul mais pas a ce point" Dit elle en riant a gorge déployer. Cette petite avait vraiment tout a apprendre ici. Heureusement – ou peut-être pas en fait- elle était tombé sur Harley, elle se chargerait de tout lui apprendre. Enfin à la façon d’Harley, elle n’était surement pas la meilleure des diplomates. Elle avait tendance a tiré d’abord et parler après.  De plus elle avait totalement conscience d’être folle a liée elle ne s’en caché d’ailleurs pas. Elle n’aurait cependant peut-être pas du le dire a sa nouvelle colocataire. En effet elle devait surement lui faire très peur a l’heure actuel en lui disant qu’elle était folle, mais aussi que personne n’était bien traité ici et que les psychiatre était pour la plus part des incompétent. Enfin  la petite brune allait devoir très vite s’habituer a ce genre de discourt, elle était ici dans un asile, pas dans une colonie de vacances.  Quand la brune lui dit qu’elle n’était pas folle, que c’était une erreur et qu’elle pouvait l’expliquer, la blonde fut un instant partager entre l’envie de rire et lui dire que le monde entier était fou, et de pleurer et la consoler lui disant de tout expliquer au psychiatre. Mais elle choisi l’option de se mettre a réfléchir.  Elle la fixa un instant et soupira doucement  "Tu sais… Le monde entier est fou ! On a tous un grain de folie, même toi j’en suis sur. Mais vas y explique moi cette erreur commise.  " Oui pour le coup son côté psychiatre ressortait  beaucoup.  Mais même en Harley Quinn, la blonde avait  l’instinct et même le besoin de comprendre et analysé les gens. Surtout les gens proche d’elle, et la brune qui répondait au doux et poétique nom de Maria était voué a devenir quelqu’un proche d’elle, qu’elle le veuille ou non.  
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Message envoyé le : Jeu 21 Juil - 19:47

Maria Fernandez
Je ne suis pas folle...
Elle rit de ma question, ou peut-être de moi, d'ailleurs, mais je ne me vexe pas bien qu'elle m'impressionne visiblement. Elle semble rire pour tout, ce qui est dans le fond assez agréable pour le moment, quoi que légèrement perturbant. Je me demande si elle saisit bien l'ampleur de la situation, mais ses commentaires sur l'asile me laissent à penser que oui. Si c'est le cas, alors son calme face à son enfermement est remarquable.

"Toi t’es vraiment pas de Gotham, tu ne connais pas Batman ? L’autre chauve-pourris qui déjoue toujours les plans de Mr J et moi ? Et même de tous les autres « criminels » de Gotham ?"

Je secoue la tête tandis qu'elle poursuit:

"Et personne ne me laisse sortir d’ici, t’es malade toi, j’suis trop folle pour que les psychiatres me laissent un jour sortir d’ici. J’veux bien qu’ils soient nuls mais pas à ce point"

Je reste muette face à cette réponse. Perdue. Pensive. Deux points y retiennent mon attention.
Le premier : elle me fait comprendre qu'elle s'échappe de l'asile, qu'elle l'a fait plusieurs fois, et qu'elle compte le refaire. L'idée de s'évader me semble totalement inenvisageable, parce que si elle a été correctement examinée et jugée nécessitant de rester ici, c'est que c'est sans doute mieux pour elle et pour le monde autours d'elle. L'idée de s'échapper malgré semble particulièrement égoïste. Et en même temps, c'est peut-être sa folie qui la pousse à s'enfuir. Une folie couplée à la pesanteur sinistre de ce lieu que toute personne censée aurait sans doute envie de quitter au plus vite. Je n'y suis que depuis quelques heures maintenant, et pourtant, je me sens déjà oppressée par son aspect sombre et inquiétant, inamical en somme. Alors si elle y est depuis longtemps, et atteinte d'une certaine forme de folie de surcroît, peut-être n'est-ce pas si surprenant qu'elle cherche à s'en échapper, bien que je me demande comment il puisse être possible de s'évader d'un endroit aussi isolé.
Le second point qui me fait réfléchir, c'est le fait qu'elle affirme elle-même être folle. Peut-on avoir conscience de sa folie ? En avoir toujours conscience, je veux dire, et non seulement lors d'éclaires de lucidités ? Car son attitude n'a pas changé lorsqu'elle a parlé de sa folie, pas de lueur différente dans le regard, pas d'intonation plus triste, ou plus posée, plus résignée, rien. Elle m'a dit cela sur le même ton qu'elle employait plus tôt pour affirmer que je n'étais pas de Gotham, la ville où nous nous trouvons je suppose. Mais si elle est consciente de sa folie, de son décalage avec la norme, pourquoi ne change-t-elle pas ? Pourquoi ne corrige-t-elle pas ce qui lui vaut d'être enfermée ici ? Peut-elle savoir ce qui ne va pas sans pour autant pouvoir le corriger ? Ou se pourrait-il qu'elle aime être « folle »... ? Ça me semble impossible, impensable. Qui pourrait souhaiter être fou ? Qui pourrait souhaiter que le monde le repousse, être dangereux pour le monde ? Et pourtant, elle en rit. Elle n'a pas un ton méchant, ou mauvais, ni même manipulateur. Non, elle rit juste. Elle est joyeuse, heureuse même, il me semble. L'incohérence qu'elle représente à mes yeux m'intrigue et m'effraie un peu, tout en me rassurant étrangement ; dans sa conscience de sa folie, elle semble presque en être « maîtresse ». Elle ne peut la changer, mais elle vit avec et s'en accommode. Je me raccroche à cette idée pour me convaincre qu'elle ne sera pas soudainement prise d'un accès de violence où elle tentera de me faire du mal sans que je puisse me défendre. Au point d'effacer le mot « criminels » qu'elle a employé pour se qualifier, ainsi que les autres détenus semble-t-il.

Et comme pour me convaincre encore plus, elle semble écouter avec un peu plus de sérieux lorsque je dis être victime d'une erreur. Elle ne rit pas à nouveau, bien que son sourire ne disparaisse pas de son visage. Plus encore, elle me répond avec un calme qu'elle n'avait pas montré jusque là :

"Tu sais… Le monde entier est fou ! On a tous un grain de folie, même toi j’en suis sûre. Mais vas-y explique-moi cette erreur commise. "

Lui expliquer... Je n'aurais peut-être pas du employer ce verbe, parce que je ne suis pas certaine d'être capable d'en parler maintenant, ni plus tard d'ailleurs. La peur, la honte, la tristesse, tout ça m'écrase et rend les mots difficiles, d'autant que la moindre évocation ravive les souvenirs les plus douloureux ; mes sentiments pour Dimitri, notre nuit chez lui, la punition de Daniel, le rejet de ma mère et de mon beau-père. Perdue dans ces souvenirs, mon regard se rive au sol, fuit le sien autant que possible, comme persuadé d'y trouver la même colère s'il venait à le croiser, alors que je n'ai encore rien dit, alors que je ne vais probablement pas dire grand chose... La gorge nouée, à peine audible, pleine d'hésitation, je tente :

« On ne voulait pas... ce qu'il s'est passé... On ne savait pas... Personne ne nous avait dit... pour lui... et moi... »


Le sol devant mes yeux se fait plus flou, plus humide, et je devine avant de les sentir me brûler les yeux que les larmes les recouvrent, sans cependant que je ne les laisse rouler sur mes joues. J'ai peur de pleurer. Peur de sa réaction. Peur de ma réaction, aussi, de m'écrouler. J'ai peur, et malgré sa présence, je me sens terriblement seule...

Maria Fernandez


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Message envoyé le : Dim 14 Aoû - 21:18

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Les fous ne son pas toujours ce qu'ils paraissent être !
Maria ✧ Harley
Elle regarda la petite brune qui sembla d’un coup triste. Elle se mordit un instant la lèvre inférieur comme gêner. Mais elle écouta la brune qui parlait doucement si bien qu’elle du tendre un peu l’oreille pour l’entendre. Elle souri en comprenant par ses  plus ou moins détourner que c’était a cause de sentiments qu’elle était là. Probablement des sentiments amoureux, et probablement interdit.  Elle soupira doucement. " Je vois, donc tes la pour les même raison que moi… Un amour interdit, enfin du moins mal vue." d’un bond elle se leva et alla vers la porte. Elle regarda dehors et soupira. Il ne se passait rien d’intéressant dehors  elle  se tourna alors vers la petite brune et tira un mouchoir de la poche de son pantalon orange. Elle s’avança a nouveau vers sa nouvelle colocataire et lui tendit le mouchoir " J’en connais un rayons a ce sujet tu sais. " Elle lui fit un grand sourire.  Elle s’installa sur le lit d’en face et la fixa d’un air sérieux. Pour elle, l’amour ce n’était pas un sujet de rigolade. Enfin si, mais elle savait en parler avec sérieux. En faite Harley savait très bien être sérieuse quand elle le voulait.  Elle croisa les jambes et posa un coude sur son genou et son menton dans sa main.  "Tu veux en parler ? Tout ce que tu me dira restera confidentiel, j’ai était radier du barreau mais je respecte toujours le secret médicale" Dit elle en souriant a la brune. Espèrant qu’elle ne lui est pas fait peur et qu’elle oserait se lâcher et surtout ce confier a elle.  
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