Dans le cadre d'une interview avec un patient ou avec le directeur. Ces visites sont rigoureusement surveillées par deux agents de sécurité, un psychiatre et un aide-soignant. Elles sont également enregistrées et filmées. Pour pouvoir être autorisé à interviewer un patient, le journal doit demander une autorisation très spéciale dans un cadre particulier. Meurtre, publicité, évasion...
Exception : Les écrivains peuvent demander une entrevue exclusive avec un patient d'Arkham. Les autorisations sont très difficiles à obtenir et très rarement délivrées. Le plus souvent, d'importants contacts sont nécessaires pour que la direction d'Arkham accepte l'entretien. Quelques écrivains ont réussis à obtenir une visite en reversant discrètement une grosse compensation à l'établissement.
Dans le cadre d'une enquête policière.Pour obtenir un entretien avec un patient d'Arkham, il faut nécessairement un mandat délivré par un juge. Les entretiens sont enregistrés et filmés, sauf autorisation particulière. Ils sont surveillés par un psychiatre, deux agents de sécurité, un aide-soignant et un avocat.
Exception : Le FBI peut obtenir une entrevue avec un patient sans mandat et sans surveillance, dans le cadre d'une enquête fédérale.
Dans le cadre d'une simple visite.Seulement et seulement si le patient est considéré comme apte à recevoir de la visite, les parents et membres de la famille peuvent rendre visite à un patient. Pour se faire, il doit justifier par un acte de naissance, de mariage/divorce ou par le livret de famille que le patient fait bel et bien partie de sa famille. Les entrevues sont filmées mais pas enregistrées. Un agent de sécurité reste à l'intérieur de la salle et deux agents de sécurité restent à l'entrée.
Exception : Si le patient est dans un état satisfaisant ou pour le cadre d'une thérapie, un psychiatre peut accepter qu'un proche ou un ami visite le patient. Il est également possible de réclamer la présence d'un proche.